La confession de C une histoire BDSM

Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 11 ans

Mon maître étant par hasard passé par votre site, il m'en a dit le plus grand bien et en effet, ayant eu la permission de le lire j'ai été assez troublée par ce que j'y ai trouvé ou lu. Non pas par le BDSM car nous pratiquons des jeux de soumission depuis des années mais par la vérité qui en ressort. Cette exhibition mentale qui fait que les vrais pratiquants retrouvent les traces et les sentiments de leurs propres jeux preuve que rien n'est inventé et que tout se perpétue.

En remerciement mon maître m'a demandé d'écrire cette petite confession.

Pour planter le décor disons que j'ai la trentaine, que j'aime le latex, les soirées sm et autres. Nous ne vivons pas dans une relation sm exclusivement car pour s'y être investi pendant des années nous avons fait un peu marche arrière. Voilà ma dernière punition.

« J'attendais la punition depuis des jours, il me l'avait promise et elle ne venait pas. Mon ventre me tenaillait, l'envie sans cesse présente d'être à ses pieds, la volonté de toujours bien faire et de lui offrir mon corps.

Il entra dans la pièce, déjà Enigma résonnait dans la chaîne hi-fi. Il s'approcha de moi et dans un rituel habituel il me noua un foulard autour de la tête. Ma vision supprimée les sensations décuplent. Nue, j'épiais le moindre son, mon corps aux aguets de ce qui pouvait lui arriver.

J'entendais le bruit du coffre s'ouvrir, il allait sortir ses instruments et me punir, tel un signe d'amour que nous partageons.

Sa main se posa sur mes tétons les étirant légèrement. Lorsqu'ils furent chauds, il les serra dans deux pinces à linge. « Ecarte tes jambes et fléchit les genoux pour bien dégager ta chatte ». La position n'était pas confortable surtout avec mes pieds nus sur le carrelage. Il garnit également mes grandes lèvres avec deux pinces crocodiles auxquelles il accrocha deux poids légers mais suffisamment pesant pour que je sente la traction les étirer.

Il fit balancer doucement les poids, ce mouvement d'horloge accroissait la douleur. « Tu sais Lola, tu es vraiment jolie, ton sexe épilé ferait de l'oeil à plus d'un ».

Aïe, il m'avait déjà fait le coup de faire rentrer un inconnu dans la maison pendant une correction et je ne l'ai su qu'à la fin de la séance... cela m'avait vraiment gênée à la fin de la séance car on se laisse plus aller seule qu'en public. Allait-il remettre cela je fis un effort sur moi même pour me contrôler un peu plus.

Je reçu une quinzaine de coups de fouets qui meurtrirent mes fesses et qui firent balancer plus fort les poids suspendus à mes lèvres. A l'aide de sa cravache il ôta les pinces de mes seins, cette façon rend un court laps de temps la douleur insupportable ce qui m'extirpa deux cris de surprises.

« Mets-toi à quatre pattes. Comme une chienne ». Il me plaça mon collier de métal autour du cou et des bracelets aux poignets et aux chevilles et il me promena dans la maison comme cela. Assis dans son fauteuil, moi à quatre pattes à côté de lui, il regarda le début d'un film d'Andrew Blake. Je reconnu la musique. De temps en temps une claque me meurtrissait les fesses ou un pincement me réveillait les seins.

Toujours à quatre pattes, il fit glisser en dessous de mon buste un pouf en cuir. Dans cette position mes mains restaient libre. Mon visage étaient dans le vide. " Passe la langue et surtout ne referme pas la bouche" . Doucement je sentais la salive couler le long de mes lèvres et goutte à goutte tomber sur le sol. Je savais que je ne pouvais rentrer la langue et impossible de l'avaler dans cette position. Quelle humiliation de ne pouvoir retenir ses secrétions et de les entendre claquer sur le sol.

« Prend tes fesses en main et écarte-les ».Je savais où il allait j'ai horreur qu'on me prenne par derrière ou qu'on y introduise des objets et régulièrement lors de chaque punition il rend l'entrée plus docile. Une seule fois dans ma vie j'y ai pris du plaisir lors d'un trio et je ne m'explique pas pourquoi.

Je restais quelques minutes, l'anus impudiquement découvert par mes mains. Il enleva les pinces qui pendaient toujours à mon sexe. Le sa...ng qui repénètre dans les chair accroît la douleur.

« Tiens enduis-toi de lubrifiant et ne badine pas sur la dose ». Il renversa le produit dans mes doigts et consciencieusement je fis pénétrer mes doigts dans mon intimité.

Cette tâche accomplie, je reposais mes mains toujours sur mes fesses écartées. Un premier objet buta sur mon sphincter, ce devait être une boule de petite taille qui déflorait mes entrailles. Comme je me crispe, la douleur est toujours présente quelque soit l'objet et je ne peut m'empêcher de petit soubresaut. Cela me valut une dizaine de coups de fouets sur mon cul rougit pour la peine.

La boule fut remplacée par une bougie de taille respectable. « Serre les fesses et ne la fait pas tomber : elle est allumée, tu risquerais de te brûler ». Mes mains furent attachées au pouf en cuir. Lentement millimètre par millimètre le cylindre ouvrait un passage dans mon corps et bien qu'il l'eut recouvert d'un préservatif, il avait l'air de s'accrocher à la paroi.

Lorsque l'engin fut rentré dune petite dizaine de centimètre, il la laissa en place et il vint placer un gode dans ma bouche. « Suce-le bien car il pourrait remplacer la bougie si tu la laisses tomber. » Jamais ma cavité ne pourrait contenir un objet d'une telle largeur : 6 cms cela me semble énorme. J'ai vu une de mes copines se le faire lors d'un jeu à plusieurs couples et j'étais restée pétrifiée à cette vision. Elle alternait masturbation et pénétration pour savoir entrer le gode qui était fixé sur un tabouret. C'était la condition pour qu'elle participe au repas. Mais moi cela m'a marquée pour des années.

Mon maître alterna sur mon dos et mes fesses les glaçons et la cire de bougie. Il fit pénétrer le reste du glaçon dans ma chatte. Dure épreuve pendant ce temps de contrôler son anus pour y retenir une bougie dont la seule envie que vous avez est de l'expulser.

"Accroupis-toi, les cuisses bien écartées et les mains sur la tête ". Mes bracelets de poignets furent rattachés par une corde qu'il fit passer par derrière tirant mes bras dans mon dos. La double corde creusa le sillon de mes fesses sertissant mes grandes lèvres, remontant sur la face de mon corps pour finir ce bondage particulier dans mon dos.

Cette position au bout de dix minutes était des plus inconfortables, je prenais garde de ne pas vaciller.

« Tu refuses d'uriner devant moi. Ici tu auras pas le choix ». Il glissa un pot entre mes jambes remplies de trois bougies chauffe-plats. La chaleur faisait rougir mon sexe et la brûlure se faisait de plus en plus forte je n'avais pas le choix.

« Et surtout ne salit rien sinon » La corde devait certainement dévier le jet et je me concentrais pour expulser le liquide sans précipitation. Je sentais les dernières gouttes couler le long de mes cuisses. « Tiens gouttes, vois comme tu es une petite cochonne. Tu ne fais pas pipi sans te salir ». Tu as de la chance tu as éteint les trois bougies. »

Il me dégagea et plaça un mors dans ma bouche. Je repris ma position en levrette sur le pouf et il plaça un cadenas en travers de mes anneaux. « Une semaine sans être prise. Sauf par derrière ». C'est dans cette position que son membre traversa mon anus et que sa semence me remplit. L'entrée s'en trouvait facilitée par les manipulations déjà effectuées mais je ne pouvais facilement me résoudre à sentir son membre au fond de mon corps du moins pénétrée par cet orifice.

Au dernier moment il se releva et en se masturbant sur mes seins sa semence fut projetée sur mes seins. Je sentais les gouttes couler sur mon ventre... jallais encore être punie parce que je salissais le sol.

Mais j'aime m'offrir à lui.

C... par amour pour P

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